Patagonie 2011 Argentine - Chili

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Buenos Aires - Ruta 3


Palais du Congrès















Sympa ce panneau publicitaire, non ?






Nos guides en pleine action !
















En attendant les danseurs de tango, on papote.




Les danseurs se préparent ...
et en avant pour une superbe démonstration, suivie d'un cours pour les volontaires















  • Jour 3 : Bahia Blanca - San Antonio Oeste - 460 km
    Journée un peu monotone. Si au départ le paysage ressemble un peu à la Camargue, la pampa reprend ses droits. Aujourd'hui nous traversons en ligne droite d'immenses paysages plats, sans signe de vie ni agriculture. Pourtant la présence de clôtures nous laisse à penser que des hommes et des bêtes doivent vivre dans ces contrées désertiques (végétation rage, arbustes).
    Il nous faut 150 km de route pour nous rendre compte à la faveur du premier croisement rencontré que nous nous étions trompés de direction ! Heureusement 2 solutions pour atteindre San Antonio s'offraient à nous et nous sommes arrivés à bon port sans avoir à rebrousser chemin. En chemin et à l'arrivée, nous découvrons une spécialité du coin, la pénurie d'essence. Le soir à San Antonio, il nous faudra attendre 4 heures pour pouvoir faire le plein !!! Un bon petit repas dans un restaurant de fruits de mer fera passer oublier rapidement cette longue attente.







  • Jour 4 : San Antonio Oeste - Puerto Piramides (Presqu'île de Valdes) 350 km
    Après un rapide passage chez un garagiste pour changer notre roue arrière qui a une boufigue bien marquée, nous partons vers la presqu'île de Valdes. Le paysage est plus varié qu'hier avec des petites collines et l'apparition de nos premiers guanacos. Entre notre départ et notre arrivée (350 km), il n'y a qu'un village ! Résultat nous devons patienter jusqu'à 16h pour pouvoir manger ! Autre difficulté, trouver un "habitacione" à Puerto Piramides, surpeuplé en cette période.
    Nous finissons la journée en allant voir le site de l'île aux oiseaux et surtout les colonies de lions de mer. Les paysages rudes et secs sont magnifiques en cette fin d'après-midi.
    Pour la petite histoire, j'ai rejoint Jean dans la classe des bons conducteurs argentinos, en grillant allègrement un feu rouge. Jusqu'à ce jour nous le chambrions volontiers sur le sujet, maintenant c'est de moi que l'on se moque !! Mais rassurez-vous, nous sommes prudents ! C'est simplement que les feux rouges ne sont pas toujours à la bonne place, tantôt avant le carrefour tantôt après !























Lions de mer - Les mâles sont les plus gros








Pointe Nord : lions de mer






Pointe Cantor : pingouins






Les éléphants de mer au travail !


Je me déclace de quelques centimètres pour ne pas être mouillé par la mer










La pampa est fleurie même en cette saison


Nos premiers nandous




La platitude des paysages rend le ciel magnifique et gigantesque




Arrivée sur Comodoro Rivadavia



  • Jour 7 : Comodoro Rivadavia - Piedra Buena / 580 km
    En quittant Comodoro, nous suivons la côte avant de remonter sur le plateau. La région produit beaucoup de pétrole et la pampa est parsemée de puits. Cette étape est très minérale. La pampa est quasi désertique et le plateau est par moment coupé par des canyons dans lesquels on s'enfonce avant de remonter. Le ciel est toujours aussi impressionnant dans cette immensité. Le vent souffle très fort.
    Nous apercevons encore beaucoup d'animaux. Ils se retrouvent parfois au bord d'une mare ou d'une saline (nombreuses sur ce plateau). Les guanacos sont souvent perchés sur les crêtes des collines.
    Comme depuis le début, en 600 km on ne rencontre pas beaucoup de villages (ils se résument pour la plupart à une station service entourée de quelques habitations). Aussi arrivés à destination, il est difficile de trouver un hôtel. Heureusement une charmante jeune femme nous déniche une petite maison à louer pour la nuit.
    Piedra Buena est une petite ville surprenante, proprette, donnant l'impression que les gens y vivent bien.





















Ici le traîneau du Père Noël est tiré par des guanacos



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