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Urugay (Mars 2015)
 
  • 24 Mars : San Gustavo (Argentine) - Young (Urugay)
    Nous quittons à regrets nos amis, mais il faut se rapprocher de Montevideo. L'arrivée exacte du bateau pour notre retour est toujours incertaine.
    La traversée en Argentine jusqu'à Paysandu est assez pénible, surtout en début de trajet. La route est complètement défoncée. Comment peut-on laisser un réseau routier dans un tel état ?
    Passage de frontière très rapide. Les douaniers urugayens sont très sympas. "Un touriste est un ami" est le slogan placardé un peu partout au poste frontière.
    Nous faisons étape après Young dans un camping quasi désert en bord de rivière.

  • 25 Mars : Young - Nueva Helvecia
    Nous voulions rejoindre Mercedes et longer les rios pour rejoindre Colonia del Sacramento mais les routes secondaires sont tellement dégradées (c'est un euphémisme !) en Urugay qu'après 3 tentatives d'itinéraires différents nous y avons renoncé et sommes descendus par la grande Ruta 3 (moins dégradée alors qu'elle était excellente il y a 6 mois).
    De plus c'est l'auromne et aujourd'hui c'est un vrai temps de Toussaint. Il a plu toute la journée ! C'est la première fois en 6 mois que nous avons un tel temps pourri !
    En résumé, aujourd'hui cela a été routes pourries et temps pourri ! Bref le départ approchant, ce n'est pas fait pour nous rendre hyper gais ! Cerise sur le gâteau, ici le Diesel approche des 2€ le litre !!!! Ca change des 20cts équatoriens ou des 75cts des autres pays !
    Mais nous sommes bien installé dans l'enceinte de l'Hôtel Suizo (encore un !), avec beau parc, piscine (mais il fait frisquet) et super restaurant (on apprécie).



  • 26 Mars : Colonia del Sacramento
    Aujourd'hui est un jour particulier puisque Monique fête son anniversaire. Et pour célébrer cet évènement, le soleil est de retour !
    C'est en bus que nous rejoignons Colonia, distant d'une cinquantaine de km de Nueva Helvecia.
    "C'est mignon" a dit Monique et cela résume bien la ville (ou plutôt son centre historique). Inutile de traverser l'Atlantique pour venir ici, mais quand on y est, on trouve ça pas mal et plutôt agréable. Le Rio de la Plata qui la baigne est d'un beau marron intense et il n'incite pas à la baignade malgré les belles plages qui le bordent.
    Dans la maison du tourisme, nous visionnons une vidéo en 3 dimensions qui présente l'Uruguay et cela confirme qu'il n'y a pas grand chose d'extraordinaire à voir dans ce tout petit pays, au demeurant fort sympathique.











  • 27 Mars : Nueva Helvecia
    Journée relax. Visite de la petite ville de Nueva Helvecia aux airs suisses comme il se doit ! Farniente au bord de la piscine.


    L'entrée / Sortie du village


    Un chateau d'eau très particulier !



    Et puis le soir, réception d'un mail de Grimaldi. Le bateau est en avance, nous embarquons le 30 au matin ! Il ne nous reste donc plus qu'un jour ici pour tout préparer avant de rejoindre Montevideo !!!
    En fait il a dû inverser deux escales (Montevideo et Zarate) ce qui fait qu'au lieu de partir directement vers l'Europe, nous allons remonter le Rio Parana jusqu'à Zarate (Argentine) avant de revenir sur Montevideo. Bon, nous l'avions évité à l'aller et ce n'est pas pour nous déplaire. Mais il va falloir se bouger demain !
    Nous zapperons la côte mais elle ne nous tentait de toute façon pas vraiment.

  • 28 Mars : Nueva Helvecia
    Derniers préparatifs, courses, Skype, coiffeur pour moi (Monique arrête les frais avec les coiffeurs sud-américains), nettoyage du fourgon (enfin le grand nettoyage ce sera à St Paul car il en a bien besoin).
    Et un bon resto (la viande en Uruguay est presque aussi bonne qu'en Argentine) pour finir cette journée !

  • 29 Mars : Nueva Helvecia - Montevideo
    Dernière étape du voyage. Nous rejoignons rapidement Montevideo et nous installons près du phare. En ce dimanche, les lieux sont très prisés des uruguayens particulièrement au coucher du soleil. Nous rencontrons un couple de camping-caristes allemands très sympathique avec qui nous discutons un long moment.




    Comme les argentins, les uruguayens ne se déplacent jamais sans leur maté et leur thermos d'eau chaude



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Copyright Erick et Monique Curinier